vendredi 30 décembre 2011

2011 - Une année de transition


Bonjour à tous,
On se rapproche de la fin et il est l'heure de faire le bilan de l'année 2011. 
Une année qui a été très riche pour moi sur tous les plans et qui amorce un tournant qui va se concrétiser en 2012. 
D'un point de vue professionnel, après un début assez intéressant dans la traduction, je suis devenu chargé de mission à la mairie de Valence, tout d'abord en tant que remplaçant, puis sur mon propre poste sur les affaires européennes. Une thématique qui me convient tout à fait et qui est un vrai challenge. Autant dans les grandes villes, il existe de grandes manifestations et structures européennes.
A Valence, ce n'est pas le cas et même s'il y a déjà des éléments, il reste beaucoup à faire pour faire de la ville une ville européenne. C'est pour moi très intéressant de mettre en place ces projets et structures. 2011 a été la préparation et la planification, 2012 sera la première réalisation de ces projets.
D'un point de vue associatif, beaucoup de projets se sont déroulés. Le week-end Eurovision, le séminaire LEi à Lyon, nous arrivons à réaliser de gros projets avec un soutien européen et les bases sont suffisamment solides pour poursuivre et aller encore plus loin l'année prochaine. 
Language Exchange International a bien pris son envol et la fédération continue de se faire connaître et de devenir le plus important réseau de cafés des langues dans le monde. Avec déjà 38 villes sur 16 pays, le réseau s'étend et touche une grande diversité de villes, des capitales (Londres, Madrid, Rome, Budapest, Toronto, etc.) et des villes plus modestes (Blois, Falmouth, Szczecin, etc). Le séminaire a été une grande réussite et celui de 2012 s'annonce encore plus ambitieux. A suivre.

Happy People 26 continue également sa route et sa 5ème année a été une grande réussite. Avec entre 30 et 50 participants chaque mercredi au café linguistique et les autres activités le week-end, comme le karaoké, visites, repas à thème, l'association se porte bien et s'est installée dans le paysage associatif valentinois. Son écho dépasse même la ville.
Je suis très heureux de voir aussi que la relève est assurée. Lors de la dernière AG, nous avons trouvé un volontaire pour me remplacer en tant que président d'Happy People 26. Il s'agit de Kévin Ressegaire, nous avons fixé un an pour que la transition se fasse tranquillement en 2012.
2011 est aussi ma dernière année de jeune ambassadeur à l'OFAJ. En 3 ans, ce fut une expérience très enrichissante, des belles rencontres et des projets franco-allemands. Je laisserai ma place "aux jeunes" en 2012, tout en continuant à travailler avec l'OFAJ.
J'ai aussi rejoint le CA de la FAFA en 2011, la fédération des associations franco-allemandes. Je suis en charge du dialogue intergénérationnel, un sujet plus que jamais d'actualité et crucial dans le franco-allemand. A suivre en 2012 pour les projets concrets.
J'espère que 2011 vous aura aussi apporté son lot de nouveautés. Bien sûr, il y a toujours des moments moins agréables que d'autres, mais au final la vie continue et nous évoluons avec elle. Ne gardons que le positif pour se lancer dans 2012 !
Bonne année à tous !
Romain

vendredi 23 décembre 2011

Joyeux Noël / Merry Christmas


dimanche 18 décembre 2011

Valence, Lumières et Images en Fête 2011

Bonjour à tous,

Si on vous parle de Fête des Lumières, vous pensez tout de suite à la ville de Lyon. Pourtant, elle n'est pas la seule à avoir sa fête des lumières ! En effet, Valence organise depuis plusieurs années sa fête des lumières sous le nom "Lumières et Images en Fête".

L'édition 2011 s'est déroulée ce samedi 17 décembre et le public était au RDV. Les rues étaient pleines !

Le plus marquant est sans aucun doute l'illumination de la fontaine monumentale de Valence avec une boule à facette.
 
 
L'attraction la plus originale était une projection où les gens pouvaient envoyer des messages via SMS et ensuite les sms sont publiés sur la projection. Ca marche, regardez la dédicace pour Happy People 26.
D'autres photos de la fête des lumières de Valence.
Romain

samedi 17 décembre 2011

Vivre l'international - 3 ans déjà

Bonjour à tous,

Aujourd'hui est un jour particulier pour mon blog Vivre l'International. En effet, ce dernier fête son troisième anniversaire !

En tout, ce sont 480 articles que j'ai publié depuis le 17 décembre 2008. Alors qu'au début, vous étiez seulement 15 par jours à venir lire le blog, aujourd'hui vous êtes environ 150 personnes en moyenne.

Bien sûr, les lecteurs du blog sont en grande majorité (60 %) de France et des pays francophones. Mais pas que ! Sans surprise, environ 20 % des visites viennent de l'Allemagne, les derniers 15 % viennent de l'Europe et ... du Brésil (5 %).

Je ne vais pas être très original, mais je tenais une nouvelle fois à vous remercier pour vos visites et votre soutien concernant mon blog. Vous êtes de plus en plus nombreux à venir lire et commenter mes articles et ces échanges sont toujours très intéressants.

Et c'est pour moi un grand plaisir de vous faire partager mon univers et mes expériences.

Quand je regarde mes premiers articles, j'étais encore étudiant à cette époque. Depuis, j'ai beaucoup évolué, à la fois sur le plan professionnel, associatif et humain, mais mon engagement pour l'Europe est toujours aussi fort.

Et en ces temps de crise qui nous annoncent la mort de l'Europe toutes les semaines, il est important de poursuivre cet engagement et de montrer que l'international, ce ne sont pas uniquement des économistes ou des politiciens, mais également des personnes engagées quotidiennement sur le terrain.

Et vu comment ça s'annonce, 2012 va être une année bien remplie ! A suivre sur ce blog !

Merci encore pour votre soutien !
Romain

vendredi 16 décembre 2011

Nous, Franco-Allemands !

Bonjour à tous,

Parce qu'au delà de la politique, il y a une réalité sur le terrain. Un très bon article du journal Le Monde sur les franco-allemands.

Nous, Franco-Allemands !

Point de vue | LEMONDE | 15.12.11 | 14h35
par Maxim Leo, écrivain et journaliste

La revoilà, une fois de plus et malgré tout, la peur de la mésentente entre les Allemands et les Français. La peur qu'ils ne se soient en réalité jamais compris. Voilà qu'on parle de Bismarck et de Munich. De diktat allemand, de manque de fiabilité française. La peur réciproque est plus ancienne que l'amitié mutuelle. C'est cela, le problème.

Je suis un Franco-Allemand. L'un de ceux qui ne connaissent pas cette peur. Les gens de mon espèce, on les compte aujourd'hui à foison. Un millier de mariages franco-allemands ont lieu chaque année. Près de vingt mille Français vivent à Berlin, et ce sont des milliers d'Allemands qui habitent en France. Chaque année, des centaines, peut-être même des milliers d'enfants viennent au monde vaccinés contre cette peur. Nous sommes de plus en plus nombreux. Et nous sommes là, que l'euro soit fort ou faible. Que la chancelière et le président se comprennent ou non. Et quels que soient les populistes qui recommencent aujourd'hui à rabâcher leurs stupidités.

Mon identité franco-allemande est née avec mon grand-père Gerhard, qui a dû fuir l'Allemagne en 1932 avec sa famille parce que son père, un avocat, avait gagné dans les années 1920 un procès contre un certain Joseph Goebbels - et qu'il était juif, par-dessus le marché. Sa famille partit pour Paris. Mon arrière-grand-père s'établit comme libraire ; Gerhard et ses autres enfants devinrent de petits Français en l'espace de quelques mois.

Lorsque les Allemands marchèrent sur Paris, mon grand-père Gerhard prit la fuite et rallia la Résistance. Il opéra dans la clandestinité, fut arrêté par la Gestapo, condamné à mort et libéré par les partisans. Après la guerre, lorsque Gerhard revint dans sa patrie vaincue, il était lieutenant de l'armée française. Et, comme il était entre-temps devenu communiste, il alla construire en RDA l'autre Allemagne, l'Allemagne antifasciste. Mais je crois que, au fond de son coeur, il n'a jamais cessé d'être un Français.

Voilà comment l'image que je me faisais de ce pays merveilleux a commencé à se former. Et lorsque la RDA a fini par disparaître, je suis allé faire mes études à Paris. Les choses y étaient exactement comme mon grand-père me l'avait promis. Peut-être même mieux que cela. Je fis la connaissance d'une belle Française à laquelle je chantai des chansons russes sur une plage de Normandie, ce qu'elle trouva très exotique. Lorsque nous nous mariâmes, quatre ans plus tard, à Berlin, Gerhard tint un discours. Il parla de la France, de l'Allemagne et de la réconciliation entre les peuples. Mon beau-père, Philippe, qui a oeuvré toute sa vie à la Commission européenne, fit lui aussi une allocution de ce genre. Il nous qualifia de conclusion symbolique de son travail.

Nous nous retrouvions d'un seul coup avec toute cette histoire sur le dos. Nous, Franco-Allemands qui devions tout mieux faire. Comme mon grand-père Gerhard avait, lui aussi, voulu mieux faire à Berlin-Est. Comme mon beau-père Philippe qui, issu d'une famille de militaires français, voulait mieux faire à Bruxelles. Nous qui faisons mieux les choses, nous n'avons pas la tâche facile, c'est tout ce que je peux dire. Parce que la moindre chose prend tout de suite une telle importance.

Les années 1990 ont été une bonne période pour nous, les Franco-Allemands. L'entente franco-allemande, on en faisait toute une histoire. Je me rappelle une rencontre entre François Mitterrand et Helmut Kohl à Heidelberg, en juin 1994. Mitterrand était déjà chétif, le visage jaune. Quant à Kohl, c'était encore le géant rose du Palatinat. Tous deux parlèrent de la fin de la guerre et d'une amitié qui, désormais, ne prendrait plus fin. Ils étaient émus. Kohl pleura un peu, comme toujours. Il y avait quelque chose de poignant à les voir ainsi, ces deux hommes. Et pourtant tout ce bavardage sur l'entente franco-allemande me tapait un peu sur les nerfs. Pour moi, l'entente était un problème réglé depuis belle lurette. Je voulais que les choses aillent plus loin. Qu'il y en ait plus.

Des Franco-Allemands professionnels assuraient dans les deux pays la bonne marche de la machine à réconcilier. Ils avaient certainement de bonnes intentions, mais, plus les années passaient, plus leurs propos se teintaient de langue de bois. L'entente entre les deux peuples devenait une sorte de profession de foi dont les jeunes ne savaient plus trop quoi faire. Parce que, pour nous, la paix était normale. L'amitié se transformait en rituel. Les anciens avaient les yeux dans le rétroviseur. Or nous, nous voulions regarder vers l'avant.

Les Franco-Allemands professionnels sombrèrent ainsi un peu dans leur ennui incantatoire. Et, à un moment, ils ne rendirent plus vraiment service à leurs pays. Peu après être devenue conseillère du chancelier allemand Gerhard Schröder, en 1998, Brigitte Sauzay a prononcé une belle phrase. Elle a dit qu'il ne fallait pas se contenter de fouiller l'histoire en permanence. Qu'il fallait se découvrir à nouveau chaque jour, comme dans un bon couple.

A la routine lassante de la fin des années 1990 succéda la phase de l'ignorance timide. La France et l'Allemagne se perdirent un peu de vue. Sarkozy et Merkel ne pleurent pas ensemble. Aujourd'hui, je trouve cela dommage.

Mais il n'y a pas de raisons d'être triste ou même anxieux pour autant. Il s'est passé beaucoup de choses ces dernières années. Pas dans la politique, mais dans la société. Nous, les Franco-Allemands, nous sommes devenus plus forts. Nous agissons, tout simplement. Nous ignorons les frontières. Nous sommes européens. Je vis à Berlin, mes deux filles fréquentent une école franco-allemande. En cours de géographie, elles apprennent par coeur les pays voisins de la France. Lorsque, récemment, j'ai demandé à ma cadette quels étaient les voisins de l'Allemagne, seule la France lui est venue à l'esprit. Je crois que c'est bon signe.

Traduit de l'allemand par Olivier Mannoni
Maxim Leo s'est vu décerner, mercredi 7 décembre, au Parlement européen, à Bruxelles, le Prix du livre européen, dont c'était la 5e édition. Il est le lauréat de la catégorie roman pour "Histoire d'un Allemand de l'Est" (Actes Sud, 2010)

Maxim Leo s'est vu décerner, mercredi 7 décembre, au Parlement européen, à Bruxelles, le Prix du livre européen, dont c'était la 5e édition. Il est le lauréat de la catégorie roman pour Histoire d'un Allemand de l'Est (Actes Sud, 2010).
http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/12/15/nous-franco-allemands_1619266_3232.html

jeudi 15 décembre 2011

Lorsqu'Anggun était à Valence

Anggun à Valence
Bonjour à tous,

Comme vous le savez, c'est la belle Anggun qui représentera la France à l'Eurovision 2012 à Bakou.

Ce que beaucoup ignorent, c'est qu'Anggun est déjà venue...à Valence ! Et le plus amusant, c'est que j'ai eu l'occasion de la voir lors de son passage dans la capitale drômoise. 

C'était un gros hasard. En effet, à cette époque j'étais étudiant et travaillais comme correspondant de presse au Dauphiné Libéré, le journal local de Valence. 

Et notamment, je faisais des articles sur les concerts, et ce soir là, c'était le concert d'Anggun. Je la connaissais à la tv, mais sans plus.

Et je dois dire que j'ai été limite bluffé par sa présence sur scène et son charisme. En effet, elle a du charme, de la voix et elle sait mettre l'ambiance sur scène. C'était une bonne surprise et un concert finalement aussi sympa qu’inattendu.

Et voici quelques photos du concert.


 
Bonne chance à Anggun pour l'Eurovision !

Romain

dimanche 11 décembre 2011

Une déclaration - Les Droits de l'Homme et Valence

Bonjour à tous,

C'est une initiative très forte de sens qui s'est déroulée hier à Valence. En effet, l'association ShowTime, avec le soutien du Programme Européen Jeunesse en Action et la Ville de Valence, ont conçu et diffusé le court métrage "Une déclaration" sur le thème de la Déclaration des Droits de l'Homme.

Très professionnel, le tournage s'est déroulé à Valence, notamment au parc Jouvet et à la caserne Latour Maubourg. Ce court métrage met en scène différents articles de la déclaration des droits de l'homme et dénonce que ces droits ne soient en 2011 toujours pas respectés dans le monde.
Une déclaration
Afin de montrer le caractère européen et international de cette déclaration, les articles sont en plusieurs langues.

Le court métrage porte un message très fort et percutant. Vous pouvez voir le film à l'adresse suivante :
http://unedeclaration.net/accueil.html

N'hésitez pas à faire connaître cette initiative autour de vous !


A suivre également sur Facebook
http://www.facebook.com/pages/Une-d%C3%A9claration/299203053441465

Pour ma part, je suis très heureux d'avoir pu apporter mon aide pour que ce projet puisse voir le jour. Je ne peux que vous inviter à le découvrir.

Romain

samedi 10 décembre 2011

Alain Fontan - OGAE France - Beaucoup croient à la victoire d'Anggun à l'Eurovision

Bonjour à tous,

Comme vous le savez, c'est la belle Anggun qui représentera la France à l'Eurovision 2012 à Bakou en Azerbaïdjan.
Que pensent les spécialistes de cette nomination ? J'ai posé la question à Alain Fontan, secrétaire de l'OGAE France, l'Organisation Générale des Amateurs d'Eurovision en France (chaque pays dispose de son OGAE, voir la liste ici : http://www.ogae.net/)

Alain Fontan, à droite
Romain - Est-ce une bonne ou une mauvaise surprise qu'Anggun représente la France pour OGAE France ?

Alain Fontan, OGAE France - C'est tout d'abord une surprise d'avoir une représentante désignée si tôt ! Connaître le nom du chanteur français fin novembre, "pincez-moi j'hallucine" comme le proclamait Annie Cordy ! C'est du jamais vu ! Déjà, l'ex-chef de la délégation française, Fabrice Ferment, parlait d'Anggun comme éventuelle représentante française dès la fin des années 90, soit juste après son tube "La neige au Sahara". Son successeur, Bruno Berbérès,  semble être du même avis, puisqu'il défend déjà becs et ongles ce choix (voir débat avec Paul Wermus dans l'émission "Morandini" sur Direct 8).

Bonne ou mauvaise surprise ? C'est une autre histoire ! A priori bonne, Anggun est jolie et chante bien. Deux points forts jouant en sa faveur.
 
Romain - Comment ont réagit les fans de l'Eurovision en France et dans les autres pays ?

Alain Fontan, OGAE France - Les fans, qui se sont manifestés sur notre site, sont pour la plupart enthousiastes et ont un à priori favorable ... Elle est connue (?) dans de nombreux pays. Il convient là de placer un bémol car nous ne pouvons vérifier sa prétendue célébrité aux quatre coins de l'univers. Il faut toujours se méfier de ces notoriétés du bout du monde.  Anggun a-t-elle autant de succès qu'on veut bien nous le laisser croire. En France, où nous pouvons vérifier facilement, elle a eu un hit "La neige au Sahara" et c'est tout ; les albums suivants n'ont pas vraiment rencontré leur public. On l'a souvent vue dans des émissions de F3 venant chanter des reprises de succès créés par d'autres. Manifestement, elle était toujours disponible et bien connue des responsables des divertissements de F3, ce qui a dû aider à son choix.
 
Ce que les fans attendent maintenant avec impatience, c'est le choix de sa chanson
.  Voilà LE point important, car que peut faire une bonne chanteuse avec une mauvaise chanson ? Souvenez-vous de Patricia Kaas !
Romain - Paris 2013, c'est possible ? Est-ce qu'Anggun peut réellement remporter l'Eurovision ?

Alain Fontan, OGAE France - Beaucoup croient en la victoire d'Anggun (des fans irréductibles) mais nous ne pourrons nous faire une idée que lorsque la chanson sera connue ainsi que les principaux adversaires. Attendons tranquillement le printemps 2012 et n'oublions jamais que, le grand soir, il y a dans tous les cas UN SEUL vainqueur et 34 perdants ... Alors attendons encore un peu avant de parler de Paris (ou Cannes) 2013 !

Site Internet d'OGAE France
http://eurofans.free.fr/v5/acceuil/acceuil.php

lundi 5 décembre 2011

Language Exchange International en vidéo !

Bonjour à tous,

Et une petite surprise pour finir avec le séminaire LEi Xchange Seminar de septembre dernier à Lyon.

Pendant ce séminaire, Yoan Beraud, producteur de film professionnel, a filmé ce séminaire et nous vous proposons maintenant de (re)vivre ces trois jours incroyables à Lyon, avec les cafés des langues de France, Royaume-Uni, Italie, Pologne et Hongrie du réseau Language Exchange International !



Et la version française :


Bon film !

Merci à Yoan Beraud pour son travail !

Romain

Language Exchange International fête ses 2 ans !

Ce 5 décembre 2011, la fédération des cafés des langues « Language Exchange International » fête ses 2 ans d’existence.

« Ce réseau international permet de mettre en contact différents cafés des langues en Europe et dans le monde, afin d’échanger nos expériences et bonnes pratiques et également de faire des projets en commun, explique Romain Galati, président de Language Exchange International. C’est le cas du séminaire à Lyon de septembre dernier, auquel 7 cafés des langues européen ont participé, ou encore du week-end Eurovision à Valence ».
Aujourd’hui, ce ne sont pas moins de 35 villes venant de 15 pays qui participent à ce réseau. Un réseau grandissant qui témoigne d’une réelle demande pour les langues et les échanges entre personnes de pays et cultures différents au niveau local et international.

Plus d’informations sur notre site internet :
http://www.lei-web.com/

Ou sur Facebook
http://www.facebook.com/LEi.Language.Exchange.International



samedi 3 décembre 2011

Bordeaux, ça rime avec ... vélo !

Bonjour à tous,

Je suis actuellement en vacance à Bordeaux (et oui, parfois je visite aussi la France) et j'ai été plutôt agréablement surpris par la ville. Après Toulouse, la deuxième grande ville du sud-ouest m'a également fait une bonne impression, bien que dans un tout autre registre.

C'est surtout le centre ville de Bordeaux que j'ai visité et la première chose qui m'a marquée est ... le nombre de vélo ! Ce n'est pas le niveau de l'Allemagne, mais pour une ville française il y a vraiment beaucoup de vélos ! Et surtout, il y a des parkings à vélos un peu partout et apparemment utilisés même en décembre.
A coté d'un cinéma
Place Pey Berland
Mairie de Bordeaux
Pour être dans le rythme, j'ai pris un vélo public et j'ai fait le tour du centre à vélo. Voici quelques photos du centre ville de Bordeaux.








Et même une petite vidéo à vélo sur les quais de la Garonne.


Autre remarque, en Gironde ce sont des mauvais copieurs. Ils copient le nom des autres villes et en plus ils font une faute... Regardez plutôt.
Malgré tout, une bonne surprise que ce séjour à Bordeaux. Finalement, le sud-ouest de la France n'est pas si mal !

Romain

vendredi 2 décembre 2011

Willkommen in Deutschland fête son premier anniversaire

Bonjour à tous,

Il y a quelques temps, je vous présentais le webzine Willkommen in Deutschland, un magazine internet à propos de la langue et la culture allemande.

Cette semaine, le webzine fête son 1er anniversaire ! L'occasion de poser quelques questions à Arthur , le responsable du site et de parler de l'avenir du webzine.
Romain Galati - Willkommen in Deutschland fête son premier anniversaire. Quel bilan de cette première année ?

Arthur - Cette première année s'est très bien déroulée ! Comme on dit, "Aller Anfang ist schwer", mais le site a très vite pris sa place sur la Toile. Tout d'abord, des partenariats avec d'autres sites franco-allemands ont permis à WID de se faire connaître, mais aussi les réseaux sociaux, qui permettent aux lecteurs de se fidéliser au webzine. Au fil des mois, WID a bien évolué, aussi bien au niveau du graphisme que du contenu : plusieurs évènements allemands ont été suivis, des divertissements sont apparus, une nouvelle version a remplacé l'ancienne...

Le bilan de l'année est donc très positif et ne peut que m'encourager à continuer cette aventure avec mes rédacteurs, qui sans eux, ne serait pas possible.

RG - Quelle est ta plus grande réussite avec WID ?

AB - Ma plus grande réussite est d'avoir réussi à faire connaître mon site en seulement un an. Quand je pense que début décembre 2010, personne n'avait entendu parler de WID, je me dis que les choses vont vraiment très vites. Cette réussite implique tous les partenaires du webzine, qui lui ont permis de se faire un place sur Internet, mais également des personnes qui ont soutenu le projet depuis le départ, comme Romain Galati, « Jeune Ambassadeur de l'OFAJ ».

RG - Est-ce que tu as atteint tes objectifs ?

AB - Oh que oui ! Tous mes objectifs ont été atteints. Tout d'abord, le webzine fête son premier anniversaire, ce qui est une vraie réussite. La barre de la première année est désormais passée. Ensuite, le webzine a rapidement trouvé son public, ce qui a permis la création d'une équipe de rédacteurs. Le webzine a donc trouvé un bon équilibre. Et bien sûr, la promotion de l'Allemagne et la langue allemande était avant-tout le but de WID. En espérant que ça va continuer durant cette nouvelle année !

RG - Quels sont tes projets pour la deuxième année de WID ?

Pour l'instant, je réfléchis à plusieurs nouveaux projets.

Sur WID, je pense à proposer de nouvelles catégories aux lecteurs, notamment sur la langue allemande (des leçons, du vocabulaire, des jeux/exercices...). Je peux aussi garantir qu'une nouvelle version du site sera créée durant l'année.

En parallèle, j'avais pensé créer un autre site en rapport sur l'Allemagne, mais sur un thème plus précis (par exemple, le sport). Cependant, rien n'est sûr, ce n'est qu'une idée.

http://www.willkommen-in-deutschland.fr/